« Ils ont fait une bonne répartition », poursuit Mme Hankins, en saluant la décision de tester les personnes ayant des symptômes à l’extérieur du réseau de la santé.
« Jusqu’à présent, beaucoup de gens qui avaient des symptômes mais n’étaient pas trop malades étaient encouragés à rester à la maison et on ne savait même pas s’ils avaient eu ou pas le coronavirus. » Seul bémol : « Idéalement, ça aurait été bien d’avoir ça depuis un mois, mais mieux vaut tard que jamais », mentionne-t-elle.