Les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde qui prennent des immunomodulateurs acquièrent une moins bonne réponse immunitaire après la vaccination contre la COVID-19
Selon une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Scientific Reports, les participants atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR) qui prennent des immunomodulateurs acquéraient une moins bonne réponse immunitaire après la vaccination contre le SRAS-CoV-2.
Les anticorps du SRAS-CoV-2 contenus dans le lait humain ne prédisaient pas systématiquement la neutralisation du virus vivant
D’après une étude financée par le GTIC publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition, l’infection par le SRAS-CoV-2 et la vaccination pour le prévenir ont influé sur les anticorps contenus dans le lait humain.
Les réponses des anticorps aux souches en circulation fournissent la meilleure protection contre l’infection par le SRAS-CoV-2
Selon une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Vaccines, des taux d’anticorps plus élevés ne garantissent pas une protection contre la COVID-19. Les taux d’anticorps contre la souche originale ne sont pas un indicateur fiable pour déterminer la nécessité des doses de rappel ou le moment de les administrer.
Le test par amplification des acides nucléiques du SRAS-CoV-2 a démontré une forte sensibilité
D’après une étude financée par le GTIC publiée dans la revue JAMA Network Open, le test par amplification des acides nucléiques (TAAN) du SRAS-CoV-2 a présenté une vigoureuse sensibilité de 96,2 %, démontrant son efficacité à détecter les infections.
Les échantillonneurs passifs sont rapides, fiables et rentables pour surveiller le SRAS-CoV-2 dans les eaux usées
Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Pathogens, dans l’ensemble, l’échantillonneur passif est un dispositif rapide, fiable et rentable pour surveiller les eaux usées.
Les anticorps déjà acquis contre d’autres coronavirus humains renforcent les réponses immunitaires au SRAS-CoV-2 après la vaccination
Les résultats d’une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Frontiers Immunology font ressortir l’interaction entre la vaccination contre la COVID-19, l’immunité préexistante aux coronavirus endémiques humains (CoVH) courants et la réponse immunitaire au SRAS-CoV-2 qui en découle.
Les receveurs d’une transplantation d’organe plein acquièrent une importante réponse des lymphocytes T contre les sous-lignées BA.4/5 et XBB.1.5 des variants Omicron après avoir reçu un vaccin à ARNm contre la souche originale du SRAS-CoV-2
Les résultats d’une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Transplantation ont donné un aperçu de la cinétique des réponses des lymphocytes T propres aux variants chez les receveurs d’une transplantation d’organe plein afin d’éclairer les directives cliniques et sanitaires auprès des populations immunodéprimées.
Environ 60 % des Manitobains possédaient des anticorps du SRAS-CoV-2 acquis par l’infection à l’hiver 2022
Une étude financée par le GTIC publiée dans la revue BMC Public Health a été réalisée pour obtenir une estimation plus précise du fardeau de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans la province du Manitoba, tenant compte de tous les groupes d’âge, du statut vaccinal et de l’atténuation des taux d’anticorps.
Chaque dose de rappel accroît l’efficacité vaccinale contre tous les sous-variants Omicron
Une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases a fourni des données probantes démontrant que la protection assurée par les vaccins contre la COVID-19 ou des infections antérieures par le SRAS-CoV-2, qui évitent de graves résultats cliniques, diminue à l’émergence de variants et de sous-variants du SRAS-CoV-2 qui échappent à l’immunité.