Les nourrissons, les jeunes adultes et les participants sud-asiatiques ont présenté une séroprévalence de SRAS-CoV-2 comparativement plus élevée
Une étude financée par le GTIC publiée dans la revue BMC Infectious Diseases visait à déterminer la séropositivité de la population au SRAS-CoV-2 en fonction de l’âge et à établir les facteurs de risque d’infection chez les enfants et les jeunes adultes non vaccinés.
La séroprévalence attribuable à l’infection a continué d’augmenter en novembre, quoique légèrement, chez les donneurs de sang canadiens
Selon le rapport le plus récent de la Société canadienne du sang financé par le GTIC, la séroprévalence attribuable à l’infection atteignait 83 % en novembre 2023, soit une légère augmentation par rapport aux 81,6 % d’octobre 2023.
Au début de 2022, au moins 47 % des personnes en situation d’itinérance à Toronto avaient été infectées par le SRAS-CoV-2
Dans cette mise à jour d’une étude présentée au GTIC sous forme d’infographie, l’équipe de recherche a rendu compte de la prévalence de l’infection par le SRAS-CoV-2 au début du processus, de l’incidence des premières infections par le SRAS-CoV-2 après un suivi de six mois et du taux de vaccination chez les personnes en situation d’itinérance à Toronto.
Les travailleurs de la santé ont demandé plus de soutien en santé mentale au fur et à mesure de l’évolution de la pandémie
Une étude financée par le GTIC parue en prépublication et qui n’a pas encore été révisée par un comité de lecture a établi que les travailleurs de la santé (TdS) ont déclaré une plus grande disponibilité et un plus grand usage des mesures de soutien en santé mentale au fur et à mesure de l’évolution de la pandémie.
Il est important de maintenir la vaccination à jour, même chez les personnes qui ont déjà contracté la COVID-19
Une étude financée par le GTIC, publiée dans medRxiv et en cours de révision par un comité de lecture d’eLife Sciences, a démontré que pour maintenir une immunité hybride en population, une couverture vaccinale à jour s’impose, y compris chez les personnes qui se rétablissent d’une infection par le SRAS-CoV-2.
Les Sud-Asiatiques non vaccinés du Canada courent un plus grand risque d’infection par le SRAS-CoV-2, d’hospitalisation et de décès que les personnes d’autres origines non vaccinées
Une étude financée par le GTIC, parue en prépublication et qui n’a pas encore été révisée par un comité de lecture, a visé à évaluer l’efficacité des vaccins contre la COVID-19 chez les Sud-Asiatiques de l’Ontario par rapport à des personnes d’autres origines.
Une combinaison de statistiques multivariées et d’analyse par apprentissage machine procure une nouvelle filière analytique pour évaluer l’immunité acquise par l’infection et conférée par la vaccination
Une étude financée par le GTIC parue en prépublication et qui n’a pas été révisée par un comité de lecture a révélé des relations intéressantes – c’est-à-dire des corrélats de l’infection ou de la protection – à partir de toutes les données sur la COVID-19 recueillies par les chercheurs.
Dans les petites localités rurales dotées d’étangs d’épuration, la récolte d’échantillons dans les stations de pompage en amont améliore la surveillance de la COVID-19 dans les eaux usées
D’après une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Science of the Total Environment réalisée pour aborder les lacunes en matière de mise en œuvre d’une surveillance fiable des eaux usées dans des localités rurales ou de petite dimension pour suivre l’incidence du SRAS-CoV-2 et d’autres agents pathogènes ou biomarqueurs.
Les progrès des stratégies thérapeutiques pendant la pandémie ont permis de créer des ressources efficientes pour le système de santé sans nuire aux résultats cliniques
Selon une étude financée par le GTIC publiée dans le Journal canadien de la médecine d’urgence, beaucoup moins de patients ont été hospitalisés en soins intensifs et placés sous ventilation mécanique pendant la deuxième vague de la pandémie que pendant la première, sans conséquences négatives sur la mortalité. Ces résultats ont été constatés après correction pour tenir compte des différences à l’égard des caractéristiques des patients et de la gravité de la maladie.