Le risque de myocardite est plus faible après une dose de rappel par un vaccin à ARNm
Les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans l’International Journal of Infectious Diseases confirment que la myocardite est rare après l’administration d’un vaccin à ARNm contre la COVID-19.
Les phases de confinement de la pandémie de COVID-19 ont influé sur le temps d’écran et les activités extérieures des enfants
Ce texte, rédigé par des membres du secrétariat du GTIC, résume l’article suivant : Patel P, Li X, Keown-Stoneman CDG, Vanderloo LM, Kinlin LM, Maguire JL, Birken CS. Changes in Pediatric Movement Behaviors During the COVID-19 Pandemic by Stages of Lockdown in Ontario, Canada: A Longitudinal Cohort Study. J Phys Act Health. Le 1er janvier 2023. doi : https://doi.org/10.1123/jpah.2022-0393. Les résultats ou les conclusions contenus dans l’étude [...]
Le risque de myocardite ou de péricardite demeure faible chez les adolescents après l’administration du vaccin de Pfizer-BioNTech
Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans JAMA Pediatrics, le risque de myocardite ou de péricardite après l’administration du vaccin à ARNm monovalent de Pfizer-BioNTech aux adolescents varie en fonction de l’âge et du sexe. Certaines données probantes indiquent une augmentation du risque lors d’un intervalle plus court entre les première et deuxième doses.
Chez les enfants, de plus longs intervalles entre les doses accroissent l’efficacité des vaccins, mais la protection s’affaiblit rapidement
Dans cette étude financée par le GTIC et publiée dans Pediatrics, les Drs Jeffrey Kwong de l’Université de Toronto et Kumanan Wilson de l’Université d’Ottawa démontrent que deux doses du vaccin à ARNm monovalent de Pfizer-BioNtech conféraient une protection modérée contre l’infection symptomatique par le SRAS-CoV-2, mais une bien meilleure protection contre les graves effets de la COVID-19 chez les enfants de cinq à 11 ans.
Chez les personnes de 50 ans et plus, les doses de rappel maintenaient la protection pendant au moins trois mois contre les résultats graves liés aux variants Omicron
Dans cette étude financée par le GTIC publiée dans Nature Communications, le Dr Jeffrey Kwong, de l’Université de Toronto, de même que le Dr Kumanan Wilson et la Pre Deshayne Fell, de l’Université d’Ottawa, ont établi que les troisième et quatrième doses d’un vaccin à ARNm maintenaient la protection conférée contre les graves effets des sous-variants Omicron pendant une période d’au moins trois mois chez les personnes de 50 ans et plus.
La séroprévalence continue d’être plus élevée chez les donneurs de sang de 17 à 24 ans et dans les groupes racisés
Dans son plus récent rapport de séroprévalence financé par le GTIC, la Société canadienne du sang indique que 77,3 % des donneurs de sang possédaient des anticorps acquis par l’infection à la mi-février.
Les caractéristiques des donneurs de plasma du Québec sont utilisées pour étudier l’immunité contre la COVID-19
Des chercheurs financés par le GTIC d’Héma-Québec, dirigés par le Dr Marc Germain et la Pre Renée Bazin, qui ont publié un article dans BMJ Open, rendent compte des caractéristiques de donneurs de plasma dont les échantillons sont utilisés pour étudier l’immunité à la COVID-19 au Québec, plus de 86 000 échantillons de plasma ont été prélevés auprès de plus de 15 500 donneurs différents dans la biobanque PlaCOV axée sur la COVID-19.
La réticence envers la vaccination chez les parents d’enfants et d’adolescents de cinq à 18 ans
Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans le Journal de l’Association médicale canadienne, les expériences des parents qui ont pris des décisions au sujet des vaccins contre le SRAS-CoV-2 pour leurs enfants étaient complexes, même lorsqu’ils soutenaient la vaccination.
Les doses de rappel sont efficaces pour produire de vigoureuses réponses immunitaires des lymphocytes T chez les personnes atteintes du VIH
Les résultats d’une étude révisée par un comité de lecture publiés dans Viruses, qui était dirigée par le Pr Mohammad-Ali Jenabian de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), conjointement avec le Pr Aslam Anis de l’Université de Colombie-Britannique, et qui était financée par le GTIC, ont établi qu’une troisième dose de vaccin contre la COVID-19 produisait de vigoureuses réponses de l’immunité cellulaire chez les personnes ayant le VIH (PVIH), comparables à celles observées chez les personnes qui n'en sont pas atteintes.