La séroprévalence produit une mesure plus précise de l’infection par le SRAS-CoV-2 que le test PCR
Selon une étude financée par le GTIC dont les résultats ont été publiés dans CMAJ Open, les données de séroprévalence constituent une source plus utile de mesures précises de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans la population que le test d’amplification en chaîne par polymérase (PCR).
Une quatrième dose de vaccin contribue à protéger les receveurs d’un organe plein contre les sous-variants Omicron en circulation
D’après une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases, une quatrième dose de vaccin accroît considérablement les anticorps neutralisants propres aux sous-variants BA.4/5 de même que les réponses des lymphocytes T CD4+ chez les receveurs d’un organe plein (ROP).
La séroprévalence continue d’être plus élevée chez les donneurs de sang les plus jeunes (de 17 à 24 ans) et chez les personnes racisées
Dans son plus récent rapport de séroprévalence financé par le GTIC, la Société canadienne du sang démontre que la séroprévalence globale conférée par l’infection s’élevait à 77,6 % à la fin de février.
Différentes approches de modélisation peuvent prédire les cas de SRAS-CoV-2
Dans une prépublication qui n’a pas encore été révisée par un comité de lecture, des chercheurs financés par le GTIC ont établi que l’apprentissage machine et la modélisation de la transmission épidémique permettaient de prédire avec précision les cas de SRAS-CoV-2 pendant la vague Omicron.
Protocole : la force et la durée des réponses immunitaires aux vaccins contre la COVID-19 chez les personnes atteintes d’une néphropathie chronique
Cet article, dont les résultats ont été publiés dans le Canadian Journal of Kidney Health and Disease par les Drs Matthew Oliver et Michelle Hladunewich du Sunnybrook Health Sciences Centre, des chercheurs financés par le GTIC, présente le protocole d’une nouvelle étude visant à caractériser la force et la durée des réponses immunitaires aux vaccins contre la COVID-19 chez les personnes ayant une néphropathie chronique.
Les enquêtes de séroprévalence sont importantes pour évaluer le risque professionnel de COVID-19
Selon une analyse systématique publiée dans BMJ Open faisant appel à des données extraites de l’initiative Serotracker financée par le GTIC et dirigée par le Pr Rahul Arora de l’Université de Calgary, la séroprévalence du SRAS-CoV-2 a beaucoup fluctué en fonction des professions au cours de la première année de la pandémie.
Les mères vaccinées protègent davantage leur nourrisson contre le variant Delta que contre le variant Omicron
Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans JAMA Pediatrics, les nourrissons de mères vaccinées après l’accouchement profitaient d’une protection modérément efficace contre le variant Delta (73 %), mais de peu de protection contre le variant Omicron (13 %).
Il est essentiel d’établir un seuil de protection immunitaire pour optimiser et personnaliser la vaccination contre le SRAS-CoV-2
Une étude financée par le GTIC dont les résultats ont été publiés dans la revue Transplantation visait à déterminer les corrélats de protection nécessaires pour se prémunir contre les divers variants du SRAS-CoV-2.
Les troisième et quatrième doses de vaccin élargissent et prolongent l’immunité au SRAS-CoV-2 chez les adultes ayant une MIMI
Les résultats d’une étude financée par le GTIC, parue en prépublication et non révisée par un comité de lecture, ont démontré que les troisième et quatrièmes doses de vaccin maintenaient et élargissaient les réponses immunitaires contre le SRAS-CoV-2 chez les adultes atteints d’une maladie inflammatoire à médiation inflammatoire (MIMI).