La vaccination contribue à réduire l’absentéisme en milieu de travail chez les travailleurs de la santé canadiens
Les résultats d’une étude financée par le GTIC, publiés dans le Journal of Occupation and Environmental Medicine, ont établi que les travailleurs de la santé canadiens qui ont obtenu un résultat positif à l’infection par le SRAS-CoV-2 et étaient vaccinés contre la COVID-19 s’absentaient moins du travail.
La quatrième dose de vaccin contre la COVID-19 est hautement immunogène et sécuritaire chez les personnes qui ont reçu une allogreffe de cellules souches hématopoïétiques
Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans Transplantation and Cellular Therapy, une quatrième dose de vaccin contre la COVID-19 est hautement immunogène (c’est-à-dire qu’elle confère une bonne réponse immunitaire) et sécuritaire chez les personnes qui ont reçu une allogreffe de cellules souches hématopoïétiques.
Des résultats financés par le GTIC sur la séroprévalence et les effets de la COVID-19 chez les enfants et les adolescents
Il est important d’assurer la surveillance continue de l’état sérologique des enfants et des adolescents, particulièrement dans le contexte des nouveaux variants préoccupants, de la faible couverture vaccinale et du faible recours au dépistage.
Des résultats financés par le GTIC sur la recherche accélérée en soins de longue durée
L’étude des réponses immunitaires aux infections et aux vaccins chez les Canadiens plus âgés a contribué à établir le moment approprié pour administrer les doses de rappel à cette population vulnérable, particulièrement en soins de longue durée (SLD).
Les fonctions des anticorps du virus respiratoire syncytial ont diminué pendant le pic de la pandémie de COVID-19, ce qui a provoqué une aggravation des infections par le VRS
Une étude financée par le GTIC, dont les résultats sont parus en prépublication et n’ont donc pas encore été révisés par un comité de lecture, a démontré que les réponses à médiation cellulaire et humorale (causées par les anticorps), qui confèrent une protection contre de graves infections par le virus respiratoire syncytial (VRS), se sont affaiblies en raison de la quasi-absence de circulation de ce virus au pic des mesures sanitaires attribuables à la COVID-19.
Les prédicteurs de l’affection post-COVID-19
Une étude financée par le GTIC, dont les résultats sont parus en prépublication et n’ont pas encore été révisés par un comité de lecture, fait ressortir des associations positives, mais non statistiquement significatives, entre l’affection post-COVID-19 (APC), qu’on appelle également COVID longue, et les concentrations IgG antispiculaires (S) et anti-domaine de liaison du récepteur (RBD).
Les vaccins peuvent déclencher la neutralisation du SRAS-CoV-2 chez les personnes atteintes du VIH
Une étude financée par le GTIC, dont les résultats ont été publiés dans la revue AIDS, a révélé que la capacité de neutralisation du SRAS-CoV-2 conférée par la vaccination était semblable chez les personnes atteintes du VIH (PVIH) et celles qui ne l’étaient pas et qui n’avaient jamais contracté la COVID-19.
Une infection précoce par Omicron est associée à un plus grand risque de réinfection chez les adultes âgés
Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans la revue eClinicalMedicine, les résidents d’établissements de soins de longue durée et de maisons de retraite qui avaient contracté une infection par le SRAS-CoV-2 au début de la vague Omicron risquaient davantage d’être infectés par un variant Omicron plus tardif que ceux qui n’avaient jamais été infectés ou qui l’avaient été par un variant antérieur à la vague Omicron.
Les anticorps se dégradent plus vite chez les personnes de 90 ans et plus après une infection par le SRAS-CoV-2
D’après les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans la revue Open Forum Infectious Diseases, les personnes de 90 ans et plus possédaient un taux plus élevé d’anticorps acquis par le SRAS-CoV-2 et profitaient d’une neutralisation des anticorps plus efficace que les groupes plus jeunes (de moins de 65 ans et de 65 à 89 ans), mais ces anticorps se dégradaient plus rapidement.