L’immunité hybride conférait une réponse immunitaire plus vigoureuse chez les enfants et les adultes que la vaccination seule
Selon une étude financée par le GTIC qui est parue en prépublication et n’a donc pas été révisée par un comité de lecture, deux doses de vaccin à ARNm (Pfizer ou Moderna) produisaient de vigoureuses réponses des anticorps trois mois après la vaccination, tant chez les enfants que chez les adultes.
Les taux d’anticorps anti-SRAS-CoV-2 ont augmenté chez les travailleurs de la santé canadiens à chaque dose de vaccin, puis se sont atténués au fil du temps
Une étude financée par le GTIC réalisée auprès de travailleurs de la santé canadiens, qui est parue en prépublication et n’a donc pas été révisée par un comité de lecture, a démontré que les taux d’IgG anti-RBD (domaine de liaison du récepteur) du SRAS-CoV-2 ont augmenté après chaque dose de vaccin contre la COVID-19 et après une première infection par le SRAS-CoV-2.
Les travailleurs de la santé ont présenté une incidence plus élevée d’infection par le SRAS-CoV-2 et de troubles de santé mentale que la population générale
Une étude financée par le GTIC qui est parue en prépublication et n’a donc pas été révisée par un comité de lecture a établi que les travailleurs de la santé (TdS) de l’Alberta présentaient une incidence plus élevée à la fois d’infection par le SRAS-CoV-2 et de troubles de santé mentale que les membres de la communauté (sujets témoins) vus lors de consultations médicales avant la pandémie, appariés selon le sexe, l’âge et le lieu géographique.
Chaque dose de rappel accroît l’efficacité vaccinale contre tous les sous-variants Omicron
Une étude financée par le GTIC qui est parue en prépublication et n’a donc pas été révisée par un comité de lecture a démontré que les personnes possédant une immunité hybride (une combinaison d’immunité au SRAS-CoV-2 acquise par l’infection et conférée par la vaccination) étaient protégées à près de 90 % contre les résultats cliniques graves (hospitalisation ou décès) pendant les périodes de prédominance des sous-lignées BA.1/BA.2 et BA.4/BA.5 du variant Omicron.
La vaccination contribue à réduire les symptômes de COVID longue et à freiner les marqueurs systémiques d’inflammation
Une étude du GTIC publiée dans l’International Journal of Infectious Diseases a évalué si le vaccin contre la COVID-19 administré aux personnes ayant une affection post-COVID-19 (APC), qu’on appelle également COVID longue, pouvait influer sur leurs symptômes, leur réponse immunitaire et leur persistance virale.
Les résultats de recherches financées par le GTIC sur les percées dans les laboratoires et l’infrastructure de la recherche
De multiples plateformes et technologies novatrices ont été créées depuis trois ans pour contribuer aux efforts cliniques et aux efforts de recherche au Canada, afin de surveiller les réponses immunitaires au SRAS-CoV-2.
Les résultats de recherches financées par le GTIC sur les réponses immunitaires aux variants du SRAS-CoV-2 et l’immunité hybride
Les études financées par le GTIC continuent de surveiller les réponses immunitaires aux variants du SRAS-CoV-2 et les hausses de l’immunité hybride chez les Canadiens.
Les réponses des lymphocytes T contre les variants Omicron BA.4/5 et XBB.1.5 chez les receveurs d’un organe plein était vigoureuses après la vaccination, mais plus faibles que contre la souche originale
Ce texte, rédigé par des membres du secrétariat du GTIC, résume l’article suivant : Halvorson T, Ivison S, Huang Q, Ladua G, Yotis DM, Mannar D, Subramaniam S, Ferreira VH, Kumar D, Belga S, Levings MK. SARS-CoV-2 variants Omicron BA.4/5 and XBB.1.5 significantly escape T cell recognition in solid organ transplant recipients vaccinated against the ancestral strain. medRxiv 2023.08.14.23293991; doi : https://doi.org/10.1101/2023.08.14.23293991 Les résultats ou [...]
Les vendeurs au détail et les travailleurs du milieu alimentaire ayant l’immunité hybride possédaient le plus d’anticorps neutralisants contre toutes les souches du SRAS-CoV-2
Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC, qui est parue en prépublication et n’a donc pas été révisée par un comité de lecture, la vaccination était associée à une activité neutralisante (la capacité des anticorps à bloquer la pénétration du virus dans les cellules) plus élevée contre les variants qui précédaient l’avènement des variants Omicron que contre les sous-lignées Omicron.