Des résultats financés par le GTIC sur les affections post-COVID
On estime actuellement que près d’une personne sur dix atteinte d’une infection par le SRAS-CoV-2 (qu’elle soit hospitalisée ou non) peut contracter une affection post-COVID (APC), également connue sous le nom de COVID longue, ce qui représente un fardeau de plus de 16 millions de personnes dans le monde.
Des résultats financés par le GTIC sur la sécurité et l’efficacité des vaccins
Les études financées par le GTIC démontrent le rôle important que jouent les vaccins dans la protection des Canadiens et des habitants du reste du monde contre une COVID-19 grave.
L’infection postvaccinale par Omicron suscite des réponses immunitaires neutralisantes plus fortes et plus étendues contre les variants du SRAS-CoV-2 qu’une dose de rappel seule
Une étude financée par le GTIC, parue en prépublication et qui n’a donc pas encore été révisée par un comité de lecture, a établi que les personnes qui ont reçu deux doses de vaccin et contracté une infection postvaccinale par Omicron produisaient plus d’anticorps IgA du SRAS-CoV-2 contre les protéines antispiculaires et RBD dans leur salive que les personnes qui ont reçu trois doses de vaccin et n’ont jamais contracté d’infection postvaccinale.
Le vaccin contre la COVID-19 n’accroît pas le risque de manifestations inhabituelles ou d’utilisation des soins chez les personnes atteintes d’arthrite rhumatoïde
Une étude financée par le GTIC, publiée dans le Journal of Rheumatology, confirme que le vaccin contre la COVID-19 n’accroît pas le risque global de manifestations inhabituelles d’intérêt particulier (MIIP) chez les personnes atteintes d’arthrite rhumatoïde.
La COVID-19 était la principale cause d’hospitalisation chez la moitié des patients hospitalisés qui ont obtenu un résultat positif au SRAS-CoV-2
Selon une étude financée par le GTIC publiée dans la revue PLoS One, 52 % des patients hospitalisés qui avaient obtenu un résultat positif au SRAS-CoV-2 pendant la vague Omicron avaient reçu un diagnostic primaire de COVID-19, tandis que les autres avaient contracté une infection fortuite par le SRAS-CoV-2.
Les vaccins bivalents de Pfizer (BA.4/BA.5) et de Moderna (BA.1) produisent une neutralisation semblable contre les sous-variants Omicron
Une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Nature Communications, a établi que les vaccins bivalents de Pfizer (BNT162b2 [BA.4/BA.5]) et de Moderna (mRNA-1273 [BA.1]) induisaient une neutralisation semblable contre les sous-variants BA.1, BA.5, BQ.1.1 et XBB.1.5 chez les patients sous dialyse ou ayant une transplantation du rein, malgré la divergence antigénique par rapport aux souches alors en circulation.
Les résultats de recherches financées par le GTIC sur les approches méthodologiques pour améliorer les estimations de la séroprévalence
L’évaluation de la séroprévalence est la principale méthodologie utilisée au Canada et dans le monde pour déterminer l’étendue et les tendances de l’immunité au SRAS-CoV-2, que ce soit après une infection, après la vaccination ou après ces deux événements.
Les résultats de recherches financées par le GTIC sur la COVID-19 et les effets du vaccin sur la grossesse et les nourrissons
Des études financées par le GTIC ont confirmé que la COVID-19 est bel et bien plus grave chez de nombreuses personnes enceintes et que celles-ci et leur bébé répondent tout aussi bien aux vaccins contre la COVID-19 que la population générale.
Le profilage d’une cohorte de travailleurs de détail du Québec pour étudier la réponse immunitaire à la COVID-19
Une équipe financée par le GTIC a étudié le risque qu’ont couru les employés des épiceries, des quincailleries, des bars et des restaurants pendant la pandémie de COVID-19. Cet article sur le profil d’une cohorte, qui est paru en prépublication et n’a donc pas été révisé par un comité de lecture, décrit les caractéristiques démographiques, socioéconomiques, comportementales, cliniques et professionnelles des participants, de même que les résultats de leur test de dépistage du SRAS-CoV-2, leurs symptômes de COVID-19 (s’il y a lieu) et leur statut vaccinal.