Les résultats cliniques des mères et de leur nouveau-né se sont améliorés depuis la montée des souches plus bénignes du SRAS-CoV-2 et la disponibilité de multiples doses de vaccin contre la COVID-19
Le 6e rapport (jusqu’en décembre 2022) du projet CANCOVID-Preg (Canadian Surveillance of COVID-19 in Pregnancy, ou surveillance canadienne de la COVID-19 pendant la grossesse), a révélé que depuis décembre 2021, les admissions en soins intensifs et les hospitalisations ont diminué chez les personnes enceintes ayant reçu un diagnostic de COVID-19.
Les taux de séropositivité chez les personnes enceintes étaient environ quatre fois plus élevés que les taux de résultats positifs confirmés par tests PCR
Un rapport financé par le GTIC publié en mars 2022 par l’enquête sérologique canadienne de la COVID-19 dans la population au moyen d’échantillons sériques anténatals a tiré parti des échantillons de sang prélevés lors du dépistage prénatal régulier pour évaluer les taux d’immunité dans la population générale par le biais de la population enceinte.
Le projet CANCOVID-Preg : les principaux objectifs et les protocoles
Un groupe financé par le GTIC, le Canadian Surveillance of COVID-19 in Pregnancy (CANCOVID-Preg, ou surveillance canadienne de la COVID-19 pendant la grossesse), a publié une lettre de recherche dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology Canada en 2021, afin de résumer ses objectifs et ses protocoles auprès de la population de personnes enceintes et de nouveau-nés dans le cadre de la réponse pancanadienne à la COVID-19.
Les facteurs de risque clinique d’événements indésirables chez les personnes atteintes de la COVID-19 pendant la grossesse ou après l’accouchement
Une étude partiellement financée par le GTIC qui est parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology a établi une association entre, d’une part, la présence d’autres maladies, l’état nutritionnel et l’âge plus avancé de la mère et, d’autre part, de graves résultats cliniques de la COVID-19, des issues indésirables de la grossesse ainsi qu’une morbidité et une mortalité fœtales et néonatales.
L’utilité pratique des capteurs SPR dans les études cliniques
Selon une étude financée par le GTIC, parue en prépublication et qui n’a donc pas encore été révisée par un comité de lecture, un capteur de résonance plasmonique de surface (SPR), qui peut fournir de l’information biomoléculaire quantitative et être utilisée aux points de service, est une solution viable pour surveiller les réponses immunitaires humorales au SRAS-CoV-2.
Les codes diagnostiques de la CIM-10 pouvaient détecter la plupart des infections par le SRAS-CoV-2 confirmées en laboratoire chez les patients hospitalisés, mais étaient moins sensibles chez les patients qui obtenaient leur congé
Une étude financée par le GTIC, dont les résultats ont été publiés dans la revue Scientific Reports, visait à évaluer les caractéristiques opérationnelles de la Classification internationale des maladies, dixième révision (CIM-10) lancée par l’Organisation mondiale de la Santé en 2020.
Les personnes atteintes du VIH sous traitement antirétroviral acquièrent d’importantes réponses des lymphocytes T aux vaccins contre la COVID-19
Une étude financée par le GTIC, parue en prépublication et qui n’a donc pas été révisée par un comité de lecture, a établi que les personnes atteintes du VIH (PVIH) sous traitement antirétroviral acquéraient de fortes réponses des lymphocytes T aux vaccins contre la COVID-19, renforcées par des doses de rappel ou une infection postvaccinale.
La méthodologie de la sous-étude CHILD pour examiner l’effet de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les enfants
La revue Epidemiology and Health a publié la méthodologie et le profil de cohorte d’une étude financée par le GTIC qui examine la prévalence et les prédicteurs de l’infection par le SRAS-CoV-2 et de la transmission de ce virus, de même que les prédicteurs de la santé et des effets psychosociaux de la pandémie de COVID-19 chez les enfants canadiens et leur famille.
Le dépistage général du SRAS-CoV-2 chez les personnes hospitalisées à cause d’autres affections que la COVID-19 n’était pas utile en 2020
D’après une étude financée par le GTIC publiée dans la revue BMJ Open, le dépistage universel de la COVID-19 chez les adultes hospitalisés pour un autre diagnostic que la COVID-19 au cours des deux vagues de 2020 avait un faible rendement diagnostique, si bien qu’à l’époque, il n’aurait pas été justifiable d’en faire une politique générale.