Une étude auprès de paramédics canadiens confirme la supériorité d’intervalles plus longs entre les doses des vaccins
De nouvelles données probantes tirées d’une étude financée par le GTIC auprès de paramédics canadiens démontrent que deux doses d’un vaccin à ARNm administrées à six à sept semaines d’intervalle produisent de plus forts taux d’anticorps que si elles sont administrées à trois à quatre semaines d’intervalle, conformément aux recommandations des fabricants.