Risque plus élevé en raison de l’état de santé

Les réponses des anticorps aux quatre premières doses du vaccin contre le SRAS-CoV-2 chez les patients atteints d’une MII

Selon une étude financée par le GTIC et publiée dans la revue The Lancet Gastroenterology & Hepatology par les Drs Gilaad Kaplan de l’Université de Calgary et Sasha Bernatsky de l’Université McGill pour le compte du groupe de recherche STOP COVID-19 en cas de MII, les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin (MII) acquièrent une vigoureuse réponse des anticorps après leur quatrième dose de vaccin contre la COVID-19, dont l’ampleur est semblable à celle obtenue après la troisième dose.

Une troisième dose de vaccin contre la COVID-19 confère une meilleure protection chez les receveurs d’une allogreffe de cellules souches

Selon une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Transplant Cell Therapy et réalisée par l’équipe de la Dre Deepali Kumar de l’Université de Toronto, une troisième dose de vaccin contre la COVID-19 entraînait une immunité humorale et cellulaire plus vigoureuse chez les receveurs d’une allogreffe de cellules souches (allo-GSC) qu’après la primovaccination originale à deux doses.

L’efficacité des vaccins contre la COVID-19 chez les personnes atteintes du VIH

Une étude financée par le GTIC, publiée dans la revue AIDS et dirigée par le Pr Aslam Anis, de l’Université de la Colombie-Britannique, et la Pre Ann Burchell, de l’Université de Toronto, pour le compte de l’équipe de l’étude COVAXHIV, souligne qu’avant le variant Omicron, deux doses de vaccin contre la COVID-19 offraient une protection substantielle contre une hospitalisation et un décès, et même contre une maladie symptomatique, chez les personnes qui vivent avec le VIH.

Trois doses de vaccin offrent une protection efficace contre la COVID-19 chez les patients atteints d’une néphropathie chronique

Dans une lettre de la revue Kidney International, les Drs Mel Krajden des BC Centre for Disease Control, Matthew Oliver de l’Université de Toronto et Adeera Levin de l’Université de la Colombie-Britannique, qui sont tous des chercheurs financés par le GTIC, présentent les résultats de leur évaluation de l’efficacité des vaccins contre la COVID-19 chez les patients atteints d’une néphropathie chronique (NPC, ou maladie rénale chronique) qui ne dépendent pas de la dialyse.

Les réponses immunitaires à Omicron chez les patients immunodéprimés

D’après une étude financée par le GTIC publiée dans Nature Communications et menée par les Drs Deepali Kumar et Atul Humar (Réseau universitaire de santé de Toronto), les receveurs d’une transplantation partiellement et pleinement vaccinés qui avaient été infectés par le variant Omicron (BA.1) possédaient des réponses immunitaires propres au sous-variant BA.1 comparables à celles des personnes triplement vaccinées dont le système immunitaire n’était pas immunodéprimé.

Les receveurs d’une transplantation rénale ne produisent pas une réponse aussi vigoureuse des anticorps du vaccin contre la COVID-19 que les personnes en bonne santé

Une étude prépubliée, qui n’a donc pas encore été révisée par un comité de lecture, et qui est financée par le GTIC a révélé que seulement 45 % des receveurs d’une transplantation rénale (RTR) ont développé des anticorps neutralisants spécifiques à Omicron un mois après une troisième dose de vaccin.

Chez les personnes atteintes du VIH, la longévité des anticorps est normale après la double vaccination contre la COVID-19, et forte après une troisième dose

Ce texte, rédigé par des membres du secrétariat du GTIC, résume l’article suivant : Lapointe HR, Mwimanzi F, Cheung PK, Sang Y, Yaseen F, Umviligihozo G, Kalikawe R, Speckmaier S, Moran-Garcia N, Datwani S, Duncan MC, Agafitei O, Ennis S, Young L, Ali H, Ganase B, Omondi FH, Dong W, Toy J, Sereda P, Burns [...]

Les répercussions des vaccins contre la COVID-19 chez les patients atteints de néphropathie chronique

Les Drs Matthew Oliver (de l’Université de Toronto) et Peter Blake (de l’Université Western) ont publié un éditorial dans la revue Clinical Journal of the American Society of Nephrology dans lequel ils évaluent les répercussions cliniques des vaccins contre la COVID-19 sur la protection des personnes atteintes d’une néphropathie chronique.

Les troisièmes doses entraînent de fortes réponses des anticorps chez les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin

Selon une lettre publiée dans Gut, sous la direction de la Dre Gil Kaplan (Université de Calgary) et rédigée en collaboration avec la Dre Sasha Bernatsky (Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill), qui sont financées par le GTIC, plus de 99 % d’un sous-groupe de personnes qui vivent une maladie inflammatoire de l’intestin (MII) avaient acquis une réponse des anticorps contre la protéine spiculaire après leur troisième dose de vaccin.

Les réponses immunitaires au vaccin à ARNm contre la COVID-19 chez les patients immunodéprimés

Un article désormais publié dans JCI Insight et rédigé par la Pre Anne-Claude Gingras, la Pre Tania Watts et le Dr Vinod Chandran, des chercheurs de l’Université de Toronto financés par le GTIC, démontre la nécessité d’administrer une troisième dose de vaccin à ARNm chez les patients atteints d’une maladie inflammatoire à médiation immunitaire (MIMI).

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