Deux études londoniennes ont établi que les personnes qui ont été infectées par le SRAS-CoV-2 et ont acquis une réponse immunitaire contre ce virus réagissent rapidement à la première dose du vaccin, comme les personnes qui n’ont pas été infectées répondent à la deuxième dose, ou dose de rappel.
La souche de Wuhan originale du SRAS-CoV-2 évolue constamment depuis le début de la pandémie de COVID-19.
L’entreprise SpaceX d’Elon Musk n’envoie pas seulement des décapotables rouges dans l’espace. Elle compte désormais une cohorte pour déterminer l’immunité contre le SARS-CoV-2.
À cause de la pandémie de COVID-19, il est devenu urgent de fabriquer et de distribuer des vaccins rapidement partout dans le monde.
Ces derniers mois, des études ont soulevé la possibilité d’une évolution de certains variants émergents du SARS-CoV-2 pour échapper à la surveillance immunitaire des anticorps induite par une infection antérieure, la vaccination ou un traitement aux anticorps monoclonaux.
Des programmes de surveillance indépendants, qui examinent les séquences du virus SARS-CoV-2 associées aux cas de COVID-19, ont décelé simultanément plusieurs variants distincts porteurs de substitutions d’acides aminés ou de mutations à la même position génétique de la protéine spiculaire.
En mars 2020, des écoles du monde entier ont fermé leurs portes, et la rumeur tapageuse des jeunes dans les classes et les cours d’école a été remplacée par un silence étrange qui en est venu à caractériser les premières semaines de la pandémie de COVID-19.
De nouveaux variants du virus responsable de la COVID-19 sont signalés presque tous les jours.
On ne sait pas grand-chose des mécanismes immunitaires que déclenche l’infection par le SARS-CoV-2.
Des chercheurs brésiliens ont pris des mesures répétées des anticorps contre le SARS-CoV-2 chez des donneurs de sang et ont découvert qu’en Amazonie, près de la moitié des donneurs y étaient positifs.