Un récent état des lieux publié dans Nature Microbiology résume les données les plus à jour sur les molécules cellulaires qui permettent au SRAS-CoV-2 de nous infecter et sur les indices que ces mécanismes peuvent fournir pour la mise au point de nouveaux médicaments antiviraux.
Le milieu de la santé publique a toujours fait l’objet de critiques. Sur la scène mondiale, les pouvoirs des administrateurs de la santé publique varient et, traditionnellement, le système judiciaire américain a respecté et maintenu les décrets sanitaires.
La proportion d’États-Uniens possédant des anticorps anti-SRAS-CoV-2 demeure incertaine. Une nouvelle étude publiée dans JAMA a fait appel à un échantillon de 1,44 million de prélèvements de sang entre juillet 2020 et mai 2021 pour évaluer la séroprévalence du SRAS-CoV-2 dans la population américaine générale de 16 ans et plus.
Des études antérieures ont démontré que l’évolution de la COVID-19 est généralement plus légère chez les enfants qui en sont atteints que chez les adultes.
Selon une nouvelle étude britannique publiée par The Lancet Infectious Diseases, la probabilité d’hospitalisation et de consultations à l’urgence serait deux fois plus élevée à cause du variant préoccupant delta que du variant alpha.
Les pays du monde entier cherchent à faire vacciner leur population, mais l’émergence des variants préoccupants du SRAS-CoV-2 menace le retour à la normalité.
Alors que le monde entier − le Canada y compris − est aux prises avec un nombre croissant de cas causés par les variants, des chercheurs de l’Imperial College London présentent un aperçu des données émergentes sur l’efficacité des vaccins contre les variants de la COVID-19 sur le terrain.
Dans une récente publication du New England Journal of Medicine, le Dr Kashir Ali, le Dr Gary Berman et leurs collègues ont présenté les résultats préliminaires de leur étude sur le vaccin de Moderna chez les adolescents de 12 à 17 ans.
Selon des chercheurs de l’Ontario, environ 80 % des étudiants inscrits dans une grande université canadienne entre juin et octobre 2020, avant que les vaccins soient disponibles, avaient l’intention de recevoir un vaccin contre la COVID-19 lorsqu’il serait offert.
Une nouvelle étude de The Lancet réalisée par des chercheurs de l’Université d’Oxford fournit des données d’innocuité et d’immunogénicité plus approfondies en appui à la stratégie de combinaison vaccinale semblable à celle actuellement utilisée au Canada.