Certains de nos experts participent aux tests de deux vaccins canadiens contre la COVID-19. Deux récentes prépublications présentent les résultats prometteurs du vaccin à ARNm de Providence Therapeutics et du vaccin à base de plantes de Medicago.
Depuis l’émergence de la pandémie de COVID-19, on remarque un intérêt renouvelé envers la vitamine D et envers son rôle dans le soutien des réponses immunitaires innées aux virus respiratoires, y compris le SRAS-CoV-2.
Dans une récente publication de l’American Journal of Infection Control, le Dr Mel Krajden, membre de l’équipe de direction du GTIC, et ses collègues de la Colombie-Britannique ont réalisé un sondage sérologique auprès des résidents et du personnel de deux établissements de soins de longue durée après des éclosions.
Des chercheurs financés par le GTIC de la Société canadienne du sang et d’Héma-Québec ont participé à une étude internationale comparant les divers dosages sérologiques utilisés dans 27 pays pour évaluer la séroprévalence.
La Dre Allison McGeer, membre de l'équipe de direction du GTIC, et le Dr Mario Ostrowski, chercheur financé par le GTIC, ont collaboré à une récente publication d’iScience dans laquelle ils ont tenté d’examiner les premières réponses immunitaires à l’infection par le SRAS-CoV-2.
Le groupe de synthèse des données probantes COVID-END de la Nouvelle-Écosse, pour le compte de l’Alliance pour des données probantes de la SRAP, a procédé à une rapide analyse exploratoire sur les caractéristiques de transmission des variants sous surveillance rehaussée (VOC, d’après l’acronyme anglais) du SRAS-CoV-2, auquel a participé la Dre Lisa Barrett, chercheuse financée par le GTIC.
Alors que la pandémie de COVID-19 s’installe dans une troisième vague, il est évident que les déterminants socioéconomiques de la santé contribuent au risque d’infection.
On possède peu de données sur l’efficacité des vaccins chez les personnes âgées, car de nombreux essais vaccinaux ont exclu les personnes de plus de 65 ans.
Il est fort probable que les études sur la vaccination des femmes enceintes contre la COVID-19 comportent des défis méthodologiques particuliers.
Les variants en émergence du SRAS-CoV-2 sont une grande source d’inquiétude, particulièrement les plus résistants comme celui d’abord détecté en Afrique du Sud (B.1.351).