Les vaccins à ARNm produisent des anticorps dans la salive
Dans un article désormais publié dans Mucosal Immunology, des chercheurs examinent si les vaccins à ARNm produisent des anticorps dans la salive.
Dans un article désormais publié dans Mucosal Immunology, des chercheurs examinent si les vaccins à ARNm produisent des anticorps dans la salive.
Dans une étude du Journal de l’Association médicale canadienne, le Pr Marc-André Langlois, un chercheur du GTIC qui est professeur à l’Université d’Ottawa, et ses collègues ont découvert que la moitié des membres d’une famille où quelqu’un a été infecté par le SRAS-CoV-2 ont contracté le virus.
Dans la plupart des cas, deux doses de vaccin contre la COVID-19 permettent d’éviter une maladie grave, mais la réponse immunitaire conférée par la vaccination diminue naturellement au fil du temps, ce qui accroît le risque d’infection postvaccinale.
Des chercheurs, y compris le Pr Ryan Troyer de l’Université Western Ontario, qui est financé par le GTIC, sont à mettre au point un nouveau vaccin qui fait appel à un mode de livraison inoffensif du virus.
Les mécanismes de protection immunitaire contre le SRAS-CoV-2 demeurent nébuleux. Des chercheurs du monde entier tentent de répondre à cette question cruciale.
Une équipe dirigée par le Pr Jun Liu, un chercheur de l’Université de Toronto financé par le GTIC, démontre qu’un nouveau produit vaccinal intranasal contre la COVID-19 peut conférer des réponses immunitaires muqueuses et systémiques vigoureuses dans un modèle de souris atteint d’une infection par le SRAS-CoV-2.
Le Dr Daniel Kaufmann, et les Pr Andrés Finzi et Nicolas Chomont, des chercheurs financés par le GTIC qui travaillent à l’Université de Montréal et au Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CRCHUM), ont découvert avec leurs collaborateurs que la quantité d’ARN viral contenu dans le sang des patients hospitalisés peut contribuer à dépister ceux qui souffriront d’une COVID-19 grave ou même qui mourront.
Dans une étude financée par le GTIC qui a fait l’objet d’une prépublication et qui est désormais publiée dans le Journal of Infectious Diseases, les Prs Mark Brockman et Zabrina Brumme de l’Université Simon Fraser et le Dr Marc Romney de la Colombie-Britannique ont étudié les réponses immunitaires de plus de 150 adultes de 24 à 98 ans après la vaccination contre la COVID-19.
Presque tout le monde a été exposé aux coronavirus saisonniers extrêmement répandus qui sont responsables du rhume banal.
Le Pr Götz Ehrhardt et le Dr Mario Ostrowski, des chercheurs de l’Université de Toronto financés par le GTIC, ont entrepris de déterminer si leurs échantillons de tissus pédiatriques prélevés en 2015-2016 contenaient des signes d’immunité contre le SRAS-CoV-2.